LES ELECTIONS EN R/D/CONGO
La remise des candidatures à la députation provinciale, le discours du chef de l'Etat sut l'état de la Nation et les candidatures à la présidentielles sont une pruves que l'années 2018 est marquée par des grands évenement politiques.
La démocratie à l'échelle du progEs est un exercice qui appelle les force de la Nation à la bonne gouvernance. A l'épruve du bien-Etre du citoyen et de la grandeur de l'Etat, elle assure la conformité et la performance de la société par l'ordre, la sécurité et la réalisation de l'idéal.
L'année 2018 est politiquement importante où les élections se déroulent en R.D.Congo oU les Elections se dEroulent et la marche de la dEmocratie s'affirme par la voie des urnes, les droit du citoyen et le progrEs social: les candidatures ont EtE rEmises et la population espEre une normalisation de la situation de ces epreuves obligEs.
Les chef de l'Etae A affirmEs son engagement de tenir les Elections et de respecter la constitution dans son discours devant le parlementEuni en congrEs. Les Elections et surtout l'alternance et la bonne gouvernance sont les grands Element A la dEmocratie. Jugeant son bulan positif, le chef de l'Etat a pronocE un discours qui soulignE la gestion et la marche du pays.
Les candidatures A la dEputation nationale et A la prEsidentielle et les problEmes de dEveppement du congo sont le plus grand thEme de ces Elections.
La démocratie à l'échelle du progEs est un exercice qui appelle les force de la Nation à la bonne gouvernance. A l'épruve du bien-Etre du citoyen et de la grandeur de l'Etat, elle assure la conformité et la performance de la société par l'ordre, la sécurité et la réalisation de l'idéal.
L'année 2018 est politiquement importante où les élections se déroulent en R.D.Congo oU les Elections se dEroulent et la marche de la dEmocratie s'affirme par la voie des urnes, les droit du citoyen et le progrEs social: les candidatures ont EtE rEmises et la population espEre une normalisation de la situation de ces epreuves obligEs.
Les chef de l'Etae A affirmEs son engagement de tenir les Elections et de respecter la constitution dans son discours devant le parlementEuni en congrEs. Les Elections et surtout l'alternance et la bonne gouvernance sont les grands Element A la dEmocratie. Jugeant son bulan positif, le chef de l'Etat a pronocE un discours qui soulignE la gestion et la marche du pays.
Les candidatures A la dEputation nationale et A la prEsidentielle et les problEmes de dEveppement du congo sont le plus grand thEme de ces Elections.
a remise des candidatures à la députation provinciale, le discours du chef de l'Etat sut l'état de la Nation et les candidatures à la présidentielles sont une pruves que l'années 2018 est marquée par des grands évenement politiques.
La démocratie à l'échelle du progEs est un exercice qui appelle les force de la Nation à la bonne gouvernance. A l'épruve du bien-Etre du citoyen et de la grandeur de l'Etat, elle assure la conformité et la performance de la société par l'ordre, la sécurité et la réalisation de l'idéal.
L'année 2018 est politiquement importante où les élections se déroulent en R.D.Congo
La démocratie à l'échelle du progEs est un exercice qui appelle les force de la Nation à la bonne gouvernance. A l'épruve du bien-Etre du citoyen et de la grandeur de l'Etat, elle assure la conformité et la performance de la société par l'ordre, la sécurité et la réalisation de l'idéal.
L'année 2018 est politiquement importante où les élections se déroulent en R.D.Congo
Démocratie et respect des droits du citoyen, démocratie et bien-Etre social sont piErres d'angle à l'édification d'un Etat sûr. Paix et grandeur de la République ne seraient éffectives sans la bonne gouvernance. La sécuruté, l'interêt de la Nation et l'accomplissement de l'ordre perfectionné sont les valeurs fondamentales sur lesquelles répose l'Etat dans un siEcle aussi éclairé que la Notre. La démocratie, les droits de l'homme ou la construction d'une société sûre et favorable assurent la grandeur de l'Etat.
E n ce 30 juin 2018, la R.D.Congo cElEbre les 58eme anniversaire de l'indépendance dans une actualité hautement politique et socialement importante. Les élections se déroulent dans l'année dont la présidentielle et les legislatives, preuve de la marche de la démocratie. Au pays de LUMUMBA, élection et sécurité vont ensemble. Et la réalisation de la démocratie passe des valeurs fondamentales comme la paix, le sécurité, le respect des dreoits humains, et le bien-Etre social. Tout est garanti par une bonne gestion de l'appareil de ltat.
Le M23 est effectivement de retour dans la capitale Ougandaise. Les rebelles qui étaient partis du dialogue de Kampala avec le gouvernement Congolais depuis le mois d'Avril dernier, se sont réinstallés dans leur hôtel Silver Spring ce dimanche 09 Juin 2013.
Dès leur arrivée ils ont tenus un point de presse. Toujours les mêmes points à l'ordre du jour des revendications. Questions sécuritaires, politiques et sociales avec à l'horizon le suivi de ce qui pourra être signé à Kampala.
René Abandi, chef de la délégation du M23 au dialogue de Kampala ne s'est pas éloigné de ce que le président de son mouvement, Bertrand Bisimwa, a dit depuis toute la semaine dernière. Le M23 proclame ne pas être concerné par la brigade d'intervention des Nations Unies car il est revenu aux pourparlers de la capitale Ougandaise.
En plus, le M23 aurait une vision claire de se muer en parti politique de l'opposition et tient mordicus que ses militaires soient intégrés dans les Forces Armées Congolaises (FARDC).
A comprendre les grandes idées du M23, le mouvement rebelle veut reprendre le dialogue à partir du point « deux » des matières qui étaient programmés l'année dernière quand le dialogue était lancé le 9 décembre 2012.
La grande nouvelle est que donc le M23 veut devenir un parti politique. Ceci va encore relancer un débat au niveau national sur les aspects administratifs et judiciaires, car le mouvement politico-militaire de Bertrand Bisimwa et Sultani Makenga ne sera pas ménagé d'épreuves face à l'Etat congolais.
La facilitation et donc, le président ougandais Yoweri Museveni et son ministre de la défense Crispus Kiyonga n'ont pas encore publié un quelconque communiqué annonçant la reprise probable du dialogue de Kampala ni des matières qui seront traitées.
Quant à la délégation du gouvernement qui était toujours restée à Kampala, elle attendrait un mot d'ordre de Kinshasa afin de savoir comment se lancer dans cette nouvelle épisode des pourparlers et compléter son équipe qui a vu certains de ces membres nommés à des hautes fonctions comme l'abbé Apollinaire Malumalu devenu président de la Commission Electorale nationale Indépendante (CENI) et François Mwamba qui préside maintenant le suivi de l'accord cadre d'Addis-Abeba.
(Magloire Paluku)
Dès leur arrivée ils ont tenus un point de presse. Toujours les mêmes points à l'ordre du jour des revendications. Questions sécuritaires, politiques et sociales avec à l'horizon le suivi de ce qui pourra être signé à Kampala.
René Abandi, chef de la délégation du M23 au dialogue de Kampala ne s'est pas éloigné de ce que le président de son mouvement, Bertrand Bisimwa, a dit depuis toute la semaine dernière. Le M23 proclame ne pas être concerné par la brigade d'intervention des Nations Unies car il est revenu aux pourparlers de la capitale Ougandaise.
En plus, le M23 aurait une vision claire de se muer en parti politique de l'opposition et tient mordicus que ses militaires soient intégrés dans les Forces Armées Congolaises (FARDC).
A comprendre les grandes idées du M23, le mouvement rebelle veut reprendre le dialogue à partir du point « deux » des matières qui étaient programmés l'année dernière quand le dialogue était lancé le 9 décembre 2012.
La grande nouvelle est que donc le M23 veut devenir un parti politique. Ceci va encore relancer un débat au niveau national sur les aspects administratifs et judiciaires, car le mouvement politico-militaire de Bertrand Bisimwa et Sultani Makenga ne sera pas ménagé d'épreuves face à l'Etat congolais.
La facilitation et donc, le président ougandais Yoweri Museveni et son ministre de la défense Crispus Kiyonga n'ont pas encore publié un quelconque communiqué annonçant la reprise probable du dialogue de Kampala ni des matières qui seront traitées.
Quant à la délégation du gouvernement qui était toujours restée à Kampala, elle attendrait un mot d'ordre de Kinshasa afin de savoir comment se lancer dans cette nouvelle épisode des pourparlers et compléter son équipe qui a vu certains de ces membres nommés à des hautes fonctions comme l'abbé Apollinaire Malumalu devenu président de la Commission Electorale nationale Indépendante (CENI) et François Mwamba qui préside maintenant le suivi de l'accord cadre d'Addis-Abeba.
(Magloire Paluku)
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