RESTAURER LA PAIX EN R.D. CONGO
L'INSTAURATION D'UNE PAIX JUSTE, LE RESPECT DE L'ETAT DE DROIT, LA PROPOSITION DES REFORMES STRUCTURELLES, DES LIBERTES INDIVIDUELLES, DE LA CROISSANCE ECONOMIQUE, LA CREATION D'UNE ARMEE DISSUASIVE ET LE PROGRES SOCIAL EN R.D. CONGO
La guerre en R.D. Congo est suivie de plusieurs conséquences fâcheuses et a dans l'inertie de la communauté internationale et l'immobilisme des Nations-Unies ou l'attentisme de l'Union-Africaine, le pays a été depuis plus de 30 ans le théâtre des affrontements conséquents qui ont occasionne le sous-développement, la pauvreté, le chaos généralise ou le dépérissement de l'appareil de l'Etat par la résurgence des conflits politiques qui empoisonnent la situation dont le fantasme de la guerre, conduit à l'anéantissement de l'Etat congolais et a l'innalation de la Nation.
L'activisme des groupes armés à cause l'enlisement de la sous-région, l'embrasement de l'Est du pays mais aussi la dévastation de la R.D. Congo qui a vu les moyens alloués pour le développement du pays être compense en effort de guerre. Les stigmates de la guerre gardent la mémoire vivante d'une période mouvementée et déséquilibrée quant au recul de la démocratie et a la déstabilisation, aux invasions et aux agressions des pays voisins.
La guerre économique a profondément marqué, façonné et bouleversé la société congolaise où le tissu politique et le tissu social se trouvent plus touches. La guerre du Congo a un impact négatif sur le développement du pays et le maintien du régime démocratique.
LA PROMOTION DE LA CROISSANCE ECONOMIQUE, LA CREATION D'UN ETAT JUSTE, DEMOCRATIQUE ET SOUVERAIN, LA PROPOSITION DES REFORMES TRUCTURELLES, L'INDUSTRIALISATION NECESSAIRE AU DEVELOPPEMENT, LA CREATION D'UNE ARMEE DISSUASIVE ET L'EMERGEANCE DE LA R.D. CONGO
La R.D. Congo traverse des évènements politiques majeurs: le processus de Washington, les négociations de paix de Doha au Qatar, le changement de la constitution, la proposition des reformes structurelles par le gouvernement et le procès contre Joseph KABILA KABANGE a la haute cour militaire de Kinshasa.
Tout laisse apercevoir une crise politique imminente car l'intelligentsia congolaise et la classe politique en R.D. Congo se trouvent diviser et la population congolaise, dans diverses manifestations et soulèvement populaires remet en question le pouvoir de Felix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO dont les dérives autoritaires laissent planer un doute sur la gouvernance démocratique. Delas, le président de la république est soupçonné de vouloir briguer un troisième mandat, il cherche à se maintenir au pouvoir en tripatouillant la constitution. Il y a une luaire d'espoir dans la résolution des conflits politiques et une volonté manifeste de reconstruire le pays et de construire une puissance industrielle qui émergera en Afrique; le gouvernement congolais herche à promouvoir la croissance de l'économie congolaise qui doit être compétitive et de construire une armée dissuasive qui défendra la population et sécurisera les frontières nationales. Il est encore temps de travailler pour développer le Congo et assurer la stabilité du pays et le progrès social. Les décideurs congolais fédèrent les efforts pour trouver une issue à la crise sécuritaire dans l’Est du pays, le chef de l’Etat congolais se donne corps et âme pour reconstruire le pays, le développer et assurer le maintien du régime démocratique mais ses dérives libérales laissent à désirer.
L’Est de la République Démocratique du Congo est occupé par le mouvement rebelle M23 qui a imposé gouvernement illégal, un ordre aparant et une paix vraisemblable. Le groupe arme M23 présente de revendication disconvenantes et prétend défendre la population qu’il place dans le joug du Rwanda en rependant l’oppression et la terreur. En effet, la population de l’Est du Congo mène un semblant de vie car l’AFC/M23 commet des exécutions sommaires, des massacres, des tueries de masse, la violation sur la population et les exactions sommaires. On soupçonne l’ex-président congolais Joseph KABILA KABANGE d’être l’autorité morale du M23. Le M23 a commis le crime de guerre, crime contre l’humanité et crime de génocide. Le mouvement rebelle soutenu par le Rwanda agit dans la volonté de tuer de Paul KAGAME qui en est la tête pensante. Tout laisse croire que les responsables des crimes graves doivent être déférés devant la justice pour que la vérité soit dite sur la guerre économique qui sévit en R.D. Congo.
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