LE PROCES DE L'ANCIEN PRESIDENT CONGOLAIS JOSEPH KABILA KABANGE A LA HAUTE COUR MILITAIRE DE KINSHASA

 

LE PROCES DE L’ANCIEN PRESIDENT CONGOLAIS JOSEPH KABILA KABANGE ET LE RESPECT DE L’ETAT DE DROIT EN R.D. CONGO

 

                La R.D. Congo traverse des évènements hautement politiques : la guerre qui sévit dans la partie Est du pays, les pourparlers de paix de Washington, les négociations de paix de Doha au Qatar, la révision de la constitution dont le projet est prôné par le chef de l’Etat congolais Felix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO et la majorité u pouvoir ; le procès de l’ancien président congolais  Joseph KABILA KABANGE a la haute cour militaire de Kinshasa.

 

                    La guerre économique douloureuse et longue embrase l’Etat congolais où la parie Est du pays, depuis 2 ans, est conquise par le mouvement rebelle M23  qui occupe 34 000 Km du territoire congolais et impose un gouvernement illégal, un ordre aparant et une paix irréelle. L’AFC/M23 commet le crime de guerre, crime contre l’humanité et crime de génocide et repend l’oppression, la peur et la terreur au sein de la population.

 

                 En effet, l’ancien chef de l’Etat congolais Joseph KABILA KABANGE a été traduit en justice. Le président congolais Felix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO l’accuse d’être l’instigateur des rebellions qui partent de l’Est pour déstabiliser le pays. Ainsi, il affirme les allégations selon lesquelles rebellions du C.N.D.P., du M23 de 2012, et du M23 conduite par Corneil NANGAA actuellement ont été fomentées par Joseph KABILA KABANGE. L’instabilité actuelle et l’exonération de la situation seraient l’œuvre de son prédécesseur. Joseph KABILA KABANGE est poursuivi pour perpétration de crie de guerre, trahison, participation à un mouvement insurrectionnel, atteinte a la sureté de l’Etat, tentative de renversement du pouvoir et  complot contre la république. La justice congolaise a requis contre lui la peine capitale. L’Etat congolais qui s’était placé en ministère publique a présenté des preuves justifiant la participation de l’ancien président dans une rébellion dont le Rwanda est la base arrière. La pertinence de ce procès est contestable ; on pourrait que ce procès a été arbitraire car le président de république Felix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO cherche à se débarrasser d’un homme politique et d’un opposant gênant et dont le mouvement politique pourrait constituer un problème fondamental au régime autocratique et au pouvoir tutélaire car les dérives libérales d’un Felix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO maximaliste et idéaliste se font montre  et un éventuel dictature se fait sent car il a initié le projet de changement de la constituer pour changer d’emblée le régime et faire basculer le pays vers la cinquième république, l’objectif d’une telle entreprise est de se maintenir au pouvoir. Il cherche à tripatouiller la constitution pour briguer un troisième mandat malgré le volontarisme et l’idéalisme affichés. L’ex-président congolais Joseph KABILA KABANGE voulait se poser en principal opposant à Felix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, il voulait réunir l’opposition  républicaine.

 

                    La haute cour militaire de Kinshasa réunie en séance foraine a condamné à mort Joseph KABILA KABANGE. Sa nationalité est remise en cause, on prétend qu’il est rwandais. Le processus de la levée de son immunité, tel qu’initié par le sénat congolais et avalidé par le congrès de la R.D. Congo n’a pas été une surprise. Le président congolais en exercice est derrière cette entreprise. Cette mascarade de procès a été initiée pour ternir l’image de l’ancien président congolais Joseph KABILA KABANGE.

 

                        Pour se faire, un procès  a été intente contre l’ex-président congolais Joseph KABILA KABANGE car il a visité la ville de Goma et la ville de Bukavu alors qu’elles sont occupées par le mouvement rebelle M23. Il a mené des consultations qui ont réunis entre autre la société civile, les confessions religieuses et la notabilité du Nord-Kivu et du Sud-Kivu pour statuer sur les problèmes de fond et le lexus qui touchent les deux provinces en particuliers et le pays en général, et tenter de trouver une issue a la guerre de l’Est ou de converger les idées pour prévenir les conflits politiques. Les interlocutoires ont consenti les efforts pour trouver les voies et moyens pour mettre fin à la crise sécuritaire qui secoue la R.D. Congo. Allis verbis, la justice congolaise s’est saisie de l’affaire pour intenter un procès contre l’ex-président congolais Joseph KABILA KABANGE. IL a été condamné par contimense car il est exile depuis deux ans. Ses principaux partenaires politiques ont été interdits de quitter Kinshasa, pour dire mieux le pays. Son parti politique le P.P.R.D. a été suspendu. Nous pouvons dire que le procès de Joseph KABILA KABANGE est un procès historique car il implique un ancien chef de l’Etat. A la vérité, c’est un procès politique car le chef de l’Etat congolais Felix-Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO n’a pas hésité à traduire en justice Joseph KABILA KABANGE.